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Critique de bilodoh


On peut aisément pardonner à l'enfant qui a peur de l'obscurité ; la vraie tragédie de la vie, c'est lorsque les hommes ont peur de la lumière. (Platon)

Après une telle citation en page liminaire, l'auteur s'efforcera de braquer une lumière crue, un regard sans complaisance sur les travers de son pays.

Un point de départ, une petite fille disparue au Nebraska et, comme l'éditeur le révèle en couverture, un policier décide de tout quitter pour la retrouver. Force est d'admettre qu'il s'agit d'un scénario improbable, mais cela vaut le coup de suivre l'agent Franck Decker dans sa traversée de l'Amérique qui l'amènera jusqu'aux beaux quartiers de New York.

Dans son odyssée, il fera face à toutes sortes de pourriture. À partir des psychopathes pédophiles jusqu'au crime organisé, en passant par le trafic de drogue et le blanchiment d'argent, la prostitution et l'exploitation des mineurs, toutes les tares de la société seront évoquées.

Toutes ces choses dont on ne veut rien savoir, qu'on préfère garder dans l'obscurité, de peur peut-être d'en reconnaître les clients…
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