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Critique de JeanLouisBOIS
Encore d'actualité !!
Plus de 20 ans après sa parution, l'Histoire Interdite de Thierry Wolton demeure un excellent livre de vulgarisation de l'histoire soviétique de la fin du XXème siècle. Aujourd'hui, il ne délivre que des banalités et aucune surprise au fil des pages ne vient bouleverser ce qu'on connaît déjà. Une consécration en quelque sorte. Et pourtant ! … Et pourtant, c'est encore un livre d'actualité par les faits mis en lumière et qui sont loin d'être acceptés par tous et accessoirement par les mécanismes utilisés pour justifier ce refus de l'évidence. Parfois, l'histoire du communisme (ici soviétique, mais il en serait de même pour le maoïsme, le castrisme et bien d'autres) est construite non pas vers la recherche d'une plus grande vérité, mais vers la confirmation de préjugés idéologiques d'historiens appartenant à la même tendance politique. Ils détiennent le pouvoir dans leur domaine et n'entendent en lâcher ne serait-ce qu'une partie ! Mais les faits sont têtus. Si quelques journalistes d'investigation parviennent à débusquer ces mystifications et si les archives s'en mêlent, on ne peut plus cacher les secrets qui sont de véritables fautes professionnelles. On cherche à les minimiser puis à les banaliser mais les reconnaître ? Rarement. Pour combien de temps encore ?
Plus de 20 ans après sa parution, l'Histoire Interdite de Thierry Wolton demeure un excellent livre de vulgarisation de l'histoire soviétique de la fin du XXème siècle. Aujourd'hui, il ne délivre que des banalités et aucune surprise au fil des pages ne vient bouleverser ce qu'on connaît déjà. Une consécration en quelque sorte. Et pourtant ! … Et pourtant, c'est encore un livre d'actualité par les faits mis en lumière et qui sont loin d'être acceptés par tous et accessoirement par les mécanismes utilisés pour justifier ce refus de l'évidence. Parfois, l'histoire du communisme (ici soviétique, mais il en serait de même pour le maoïsme, le castrisme et bien d'autres) est construite non pas vers la recherche d'une plus grande vérité, mais vers la confirmation de préjugés idéologiques d'historiens appartenant à la même tendance politique. Ils détiennent le pouvoir dans leur domaine et n'entendent en lâcher ne serait-ce qu'une partie ! Mais les faits sont têtus. Si quelques journalistes d'investigation parviennent à débusquer ces mystifications et si les archives s'en mêlent, on ne peut plus cacher les secrets qui sont de véritables fautes professionnelles. On cherche à les minimiser puis à les banaliser mais les reconnaître ? Rarement. Pour combien de temps encore ?
