A l'école des bestioles, il n'est pas facile d'être élève ou professeur ! Dans ce premier tome, c'est la classe des coléoptères qui est mise en avant. Mais on croise aussi des mouches, des abeilles, quelques araignées… car d'autres insectes veulent aussi s'instruire et il n'est pas facile de trouver de la place pour ces nombreux insectes ! Exemple, cette maman tarentule qui voudrait bien que ses nombreux rejetons apprennent quelque chose. Pas évident pour certaines espèces de cohabiter ensemble, il y aura quelques petits malheurs… J'ai bien aimé Boubouse, ce pauvre bousier qui est souvent moqué pour sa manie de faire des pelotes d'excréments très odorantes.
J'ai mis un peu de temps à m'habituer au dessin, entre les nombreuses pattes de chaque espèce, les ailes ou yeux en nombre aussi, j'étais un peu perdue ! Cependant, les chapitres qui s'intéressent à chaque fois à une ou des espèces différences avec un intermède pédagogique pour apprendre comment vivent et grandissent ces insectes dans la nature, un peu partout dans le monde. Un manhua plein d'humour, très intéressant à découvrir sur les insectes (à partir de 8 ans). La version originale, chinoise, est en 24 tomes (6 tomes par cycle : les coléoptères, les volants, les faux-insectes, les larves). Ce premier tome est sorti en 2015, le second en 2016, à suivre pour les prochains…
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Malgré un sujet et un univers fascinants, trop basique et sans réel atout esthétique, L’école des bestioles ne convainc guère.
Lire la critique sur le site : BDGest
-Je suis Sissi la cicindèle. Je viens d’achever ma métamorphose et je n’ai pas la moindre idée de comment je suis arrivée ici.
-Ta métamorphose ?
-Je veux dire sortir de mon cocon, coco.
-Moi, ce n’est pas Coco. Alors le cocon que j’ai ramassé, c’était toi ?