Les mélanges de genres me plaisent: ça enrichit, ça étoffe, et tout est possible.
Avec Corwin je découvre
Zelazny, vivement recommandé par @Morwenna.
L'idée de l'amnésie du personnage principal est très astucieuse. On entre dans le récit de la même façon que le personnage principal: on ne sait absolument rien de ce qu'on fait là, ni où nous sommes.
Charge donc à Corwin, de nous mettre au parfum.
Et ça fonctionne, sur les chapeaux de roues.
Ce
Zelazny est un enchanteur, je le soupçonne d'ailleurs de s'être intégré au récit sous les traits du dessinateur du roi, mais je m'é-gare (de Nantes). Martin a sans aucun doute lu et aimé cette saga, bien avant de créer son Trône de fer.
Oui, on s'égare dans les mondes et leurs envers mais Corwin nous rattrape par la carte, ses Atouts semblent nombreux.
Les lecteurs avaient pourtant prévenu: lire le premier c'est se condamner à la suite.
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