Sixième tome des Rougon-Macquart. Après l'argent, la religion, la bourgeoisie, le commerce… On en arrive maintenant au sujet de la politique. Et chez
Zola on sent toujours que la chose est une affaire de basse tromperie, de cupidité, d'envie, de lâcheté et de bêtise.
Sixième tome et toujours aussi noir, on avance dans la misère humaine. Et plus on avance dans cette série plus on s'enfonce dans un drame sans fin…
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