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Critique de Lumieredusoir


" Trois pour la colère, deux pour la pitié, un pour le pardon", sont les mots que Mercedes Montalvo se répétait lorsque son père s'estimait devoir la corriger. "Sans colère, ni pitié" est la devise enseignée à son fils Iberio pour qu'il devienne pas comme tous les hommes.

Après avoir fuit l'Espagne à 16 ans avec son nourrisson, Mercedes se retrouve, dix-huit ans plus tard, gardienne dans un immeuble aisé du XVIème arrondissement de Paris. La rencontre d'écran Goldweiser le peintre du sixième, de Madame Chanterelle, une retraité du 5ème, et de tous les autres habitants apportent un nouveau rythme à la vie de notre concierge. Sa beauté naturelle et angélique ne laisse personne indifférent et ponctué de maniéré non-volontaire la vie de tous les habitants et invités. Mercedes, quant-à-elle, n'a aucune conscience de cette nouvelle temporalité. Elle n'a d'eux que pour son fils, Iberio. Elle a peur de l'homme qu'il peut devenir. Elle craint les conséquences de l'annonce de l'identité de son père.

Dans ce roman David Zukerman nous invite dans les tourmentes, les nuances et les excès de l'être humain. Rythmé par la jalousie, la tentation, le désir et l'amour, il nous raconte la naissance d'une mère.
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