>
Critique de PdGvins
Elle a fait un bébé toute seule.
Et elle s'occupe très bien d'Iberio. La prunelle de ses yeux, sa raison de vivre et de travailler pour assurer leur subsistance. Mercedes est belle, très, trop, mais elle se protège, se blinde contre les convoitises masculines, seul son fils compte.
Un homme saura l'apprivoiser un peu, pour lui elle acceptera de se dévoiler, de se montrer nue, pour un bon motif, elle pose car il est peintre et ce n'est pas plus fatigant que de faire des ménages.
Ce roman m'a beaucoup touché, Zukerman a su créer un beau personnage de femme forte. Avec des rebondissements bien ficelés mais aussi quelques longueurs.
Comme Iberio je me suis souvent demandé qui est son père. Vous le saurez à la fin, révélation étonnante mais, en réfléchissant bien, pas si surprenante.
Elle n'a pas fait un bébé toute seule.
Et elle s'occupe très bien d'Iberio. La prunelle de ses yeux, sa raison de vivre et de travailler pour assurer leur subsistance. Mercedes est belle, très, trop, mais elle se protège, se blinde contre les convoitises masculines, seul son fils compte.
Un homme saura l'apprivoiser un peu, pour lui elle acceptera de se dévoiler, de se montrer nue, pour un bon motif, elle pose car il est peintre et ce n'est pas plus fatigant que de faire des ménages.
Ce roman m'a beaucoup touché, Zukerman a su créer un beau personnage de femme forte. Avec des rebondissements bien ficelés mais aussi quelques longueurs.
Comme Iberio je me suis souvent demandé qui est son père. Vous le saurez à la fin, révélation étonnante mais, en réfléchissant bien, pas si surprenante.
Elle n'a pas fait un bébé toute seule.
