Le voyage dans le passé

Stéfan Zweig nous proposait, en cette fin de décennie des années vingt, quelques sujets de réflexions : l'amour survit-il l'absence et à la guerre ? La réponse restera en suspend. Si Zweig est resté un grand écrivain c'est grâce à son art d'évoquer les situations sans les décrire. Chaque situation, chaque acte d'amour est emprunt d'une grande psychologie qui ne laisse rien au hasard et Zweig les suggère par l'évocation d'une pensée, d'un sourire…. Ce voyage dans le passé est une boucle de 360° qui ne demande qu'à s'ouvrir ver un hyper-espace que l'on n'ose explorer.

Si l'on connait Sweig on se dit qu'à l'image de ‘vingt quatre heure de vie d'une femme' ou encore ‘le joueur d'échec' ce voyage est un excellent trajet et pour les autres, nous espérons que , comme nous, ils seront envoûtés par la psychologie de cet auteur disparu trop tôt ; disparition (suicide) est en adéquation avec la psychologie de ces récit