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Critique de henrimesquida
Un séminaire en Andalousie , un mélange de haute spiritualité et de dévotion routinière. Quant au thème il est de ceux dont l'intérêt est inépuisable parce ce qu'ils s'opposent l'âme et la chair , le pur amour et l'amour fou , et , si l'on peut dire , les deux visages de l'absolu.Dans un séminaire espagnol, le jeune Gerardo Laïn vit une passion scandaleuse et terre. le visage d'un homme — un de ses camarades - est venu lui cacher la figure de Dieu, et cet amour où il se perd le brûle et le ravit. Cette histoire infernale appelait une conclusion tragique qu'on reçoit, telle est la tension du récit, comme la pluie après l'orage.
Un beau roman âpre et cruel où Michel del Castillo témoignait d'une maitrise et d'une perfection qu'il n'avait peut-être jamais encore atteintes.
8 ieme roman de del Castillo (1967) . Un séminariste combat ses sentiments contradictoires avec une violence croissante. Ici , il ne s'agit pas d'un livre sur l'homosexualité , mais plutôt d'une réflexion sur la vocation , la liberté , Dieu , l'amour , la mort , la haine .. tout une suite de pensées torturées , se télescopant entres elles dans ce roman assez étonnant pour l'époque.On pense aux amitiés particulière et aux garçons de Montherland. Celui-ci plus universel me semble plus réussi.
Un beau roman âpre et cruel où Michel del Castillo témoignait d'une maitrise et d'une perfection qu'il n'avait peut-être jamais encore atteintes.
8 ieme roman de del Castillo (1967) . Un séminariste combat ses sentiments contradictoires avec une violence croissante. Ici , il ne s'agit pas d'un livre sur l'homosexualité , mais plutôt d'une réflexion sur la vocation , la liberté , Dieu , l'amour , la mort , la haine .. tout une suite de pensées torturées , se télescopant entres elles dans ce roman assez étonnant pour l'époque.On pense aux amitiés particulière et aux garçons de Montherland. Celui-ci plus universel me semble plus réussi.
