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Autant en emporte le vent (3 volumes, Folio, 1976)

Série de 3 livres (En cours). Écrite par Margaret Mitchell (3),
La série 'Autant en emporte le vent' de Margaret Mitchell existe en deux séries aux tomaisons différentes (l'une en 3 volumes, l'autre en 2 volumes rééditée en 2020 par le même éditeur). Cette série en 3 volumes est la plus plébiscitée par la communauté Babelio, nous l'avons donc choisie comme référente sur l'œuvre.


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Dernières critiques
Autant en emporte le vent, tome 1

Lu vers 16 ou 17 ans. Avant d'être un inoubliable roman d'amour (et un film à la célèbre renommée), l'oeuvre de Margaret Mitchell est une formidable fresque historique et sociale !

Elle raconte les prémices de la Guerre de Sécession, les rapports entre les propriétaires terriens, les dissentions entre le Nord et le Sud, l'évolution politique et l'avancée de l'abolitionnisme et, enfin et surtout, la place des femmes dans la société de cette période époque.
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Autant en emporte le vent, tome 3

Je l'avais déjà dit sur la fiche du tome 1, j'écris une autre critique ici après avoir relu de nombreux passages du dernier tome mais décidément, oui j'ai adoré "Autant en emporte le vent" qui se glisse directement dans le podium de mes livres préférés... Je comprends que l'on puisse trouver Scarlett un peu horripilante mais moi je retiens surtout son côté profondément humain et attachant... je me suis tellement attachée à elle qui est confrontée à tant d'épreuves et les surmonte une à une..

Je ne sais pas trop quoi dire mais pour moi, ce roman est un chef d'oeuvre car il nous transporte avec un tel réalisme dans une période historique et au côté des personnages que j'ai vraiment l'impression de les avoir connus et vécu avec eux.. je ne les oublierai jamais et je tire mon chapeau à Margaret Mitchell !
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Autant en emporte le vent, tome 2

Le tome 1 est mon préféré mais le tome 2 est tout aussi excellent. À la fin du tome 1 de l'édition 2020 (pile la moitié du livre), je me demandais bien ce que Margaret Mitchell pourrait raconter puisque la situation semblait résolue. Dès la page 2, un nouvel élément perturbateur arrive et c'est reparti pour des centaines de pages avec nos personnages adorés.



Après un tome 1 illustrant le volet destruction de la guerre, le tome 2 illustre celui de la reconstruction, aussi bien celle de la ville que celle des civils devant se faire une place dans une nouvelle société favorisant les vainqueurs.



Vaincue mais survivante, Scarlett se mue en conquérante et sa volonté sera un boulet de canon la propulsant là où elle voulait être tout en ayant ce qu'elle voulait avoir pour finalement se rendre compte de ce que sa cupidité lui avait masqué.



Ce roman m'a fait l'effet d'une autoroute :

— partie 1 : voie d'accélération pour s'insérer, présentation des personnages, bulle familiale du comté de Tara  ;

— partie 2 à 4 : la guerre avec des évènements à toute vitesse et en continu, niveau sociétale et mode survie des personnages ;

— partie 5 : voie de décélération pour quitter l'autoroute, retour à un niveau familial.



Alors que j'avais dévoré les quatre premières parties, la cinquième partie me fut plus lente à lire parce qu'il n'y a plus cette tension de la survie, même si les péripéties y sont toujours passionnantes (et tragiques) à lire. Une sorte de retour au calme, de retour à notre précieuse vie en temps de paix.



Challenge Multi-défis 2024

Challenge Pavés 2024
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Autant en emporte le vent, tome 1

Des frissons de joie et de peur, de grands éclats de rire et des yeux écarquillés tout au long de la lecture de ce magnifique roman historique. Margaret Mitchell nous décrit si bien l'époque que l'expression « se plonger dans la lecture » en devenait presque littérale tellement j'avais l'impression que mon livre était un portail m'y transportant.



Les personnages sont incroyables avec notamment un petit faible pour Rhett qui est si charismatique, éloquent et drôle. La volonté farouche de Scarlett pour survivre et sauver ses proches est une puissante source d'inspiration.



Challenge Multi-défis 2024

Challenge Pavés 2024
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Autant en emporte le vent, tome 3

Avant toute chose, je me refuse en tant que lectrice de placer un filtre de bienséance sur mes lectures.

Dire d’une œuvre écrite en 1930 qu’elle est raciste, c'est comme indiqué dans La belle au bois dormant qu’il est interdit d’embrasser une personne sans son consentement.

Cela n’apporte rien de plus qu’une polémique creuse et vide de sens.

Nous sommes suffisamment éclairées aujourd’hui pour reconnaitre que l’esclavage devrait être nul et non avenu. Force pourtant de reconnaître, qu’encore aujourd’hui, y compris dans notre beau pays (France) que ce dernier statut existe encore.

De même, s’interroger pour connaître les objectifs et valeurs d’une personne décédée est une perte de temps et d’énergie considérable.



J’ai choisi de lire Autant en emporte le vent dans son édition de 1976. Je n’apprécie pas vraiment les modifications apportées aux grands classiques de la littérature par souci encore une fois de bienséance.



Ce livre m’a été recommandé par ma mère. Cette dernière pensait qu’il me plairait.

Dire l'inverse serait un peu mensonger.



J’ai détesté Scarlett O’hara, du début à la fin de l'œuvre. Elle m’a fait penser à ces pintades qui règnent dans les cours d’école. Un simple physique, mit en valeur par l’argent de papa/maman, recouvert d’un caractère à faire passer le diable pour un véritable saint.



Est-il nécessaire d’aimer un personnage pour ne pas apprécier la qualité d’une œuvre littéraire? Absolument pas.

J’ai apprécié l’éclairage unique apporté sur la guerre de sécession par Mme Mitchell.

Il n’est pas seulement question ici d’un personnage emblématique mais d’un morceau de l’histoire américaine.



Si cette œuvre littéraire est encore aujourd’hui considérée comme un classique, c’est justement pour sa capacité à nous interroger sur notre monde.



Après tout, c’est ainsi que débute chaque travail de mémoire.



Cette lecture en appelle d’autres :

- La guerre de sécession de John Keegan [A lire]

- De l’émancipation à la ségrégation : Le sud des états-unis après la guerre de sécession de Nicolas Barreyre et Paul Schor. [A lire]

- Une institution très particulière : l'esclavage aux État-Unis 1619-1877 de Peter Kolchin [Déjà lu]★★★★

- La case de l’oncle Tom de Harriet Beecher Stowe [Déjà lu]★★★★

- Mémoires d’un esclave de Frederick Douglass [Déjà lu] ★★★★★★★
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Autant en emporte le vent, tome 2

Avant toute chose, je me refuse en tant que lectrice de placer un filtre de bienséance sur mes lectures.

Dire d’une œuvre écrite en 1930 qu’elle est raciste, c'est comme indiqué dans La belle au bois dormant qu’il est interdit d’embrasser une personne sans son consentement.

Cela n’apporte rien de plus qu’une polémique creuse et vide de sens.

Nous sommes suffisamment éclairées aujourd’hui pour reconnaitre que l’esclavage devrait être nul et non avenu. Force pourtant de reconnaître, qu’encore aujourd’hui, y compris dans notre beau pays (France) que ce dernier statut existe encore.

De même, s’interroger pour connaître les objectifs et valeurs d’une personne décédée est une perte de temps et d’énergie considérable.



J’ai choisi de lire Autant en emporte le vent dans son édition de 1976. Je n’apprécie pas vraiment les modifications apportées aux grands classiques de la littérature par souci encore une fois de bienséance.



Ce livre m’a été recommandé par ma mère. Cette dernière pensait qu’il me plairait.

Dire l'inverse serait un peu mensonger.



J’ai détesté Scarlett O’hara, du début à la fin de l'œuvre. Elle m’a fait penser à ces pintades qui règnent dans les cours d’école. Un simple physique, mit en valeur par l’argent de papa/maman, recouvert d’un caractère à faire passer le diable pour un véritable saint.



Est-il nécessaire d’aimer un personnage pour ne pas apprécier la qualité d’une œuvre littéraire? Absolument pas.

J’ai apprécié l’éclairage unique apporté sur la guerre de sécession par Mme Mitchell.

Il n’est pas seulement question ici d’un personnage emblématique mais d’un morceau de l’histoire américaine.



Si cette œuvre littéraire est encore aujourd’hui considérée comme un classique, c’est justement pour sa capacité à nous interroger sur notre monde.



Après tout, c’est ainsi que débute chaque travail de mémoire.



Cette lecture en appelle d’autres :

- La guerre de sécession de John Keegan [A lire]

- De l’émancipation à la ségrégation : Le sud des états-unis après la guerre de sécession de Nicolas Barreyre et Paul Schor. [A lire]

- Une institution très particulière : l'esclavage aux État-Unis 1619-1877 de Peter Kolchin [Déjà lu]★★★★

- La case de l’oncle Tom de Harriet Beecher Stowe [Déjà lu]★★★★

- Mémoires d’un esclave de Frederick Douglass [Déjà lu] ★★★★★★★
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Autant en emporte le vent, tome 1

Avant toute chose, je me refuse en tant que lectrice de placer un filtre de bienséance sur mes lectures.

Dire d’une œuvre écrite en 1930 qu’elle est raciste, c'est comme indiqué dans La belle au bois dormant qu’il est interdit d’embrasser une personne sans son consentement.

Cela n’apporte rien de plus qu’une polémique creuse et vide de sens.

Nous sommes suffisamment éclairées aujourd’hui pour reconnaitre que l’esclavage devrait être nul et non avenu. Force pourtant de reconnaître, qu’encore aujourd’hui, y compris dans notre beau pays (France) que ce dernier statut existe encore.

De même, s’interroger pour connaître les objectifs et valeurs d’une personne décédée est une perte de temps et d’énergie considérable.



J’ai choisi de lire Autant en emporte le vent dans son édition de 1976. Je n’apprécie pas vraiment les modifications apportées aux grands classiques de la littérature par souci encore une fois de bienséance.



Ce livre m’a été recommandé par ma mère. Cette dernière pensait qu’il me plairait.

Dire l'inverse serait un peu mensonger.



J’ai détesté Scarlett O’hara, du début à la fin de l'œuvre. Elle m’a fait penser à ces pintades qui règnent dans les cours d’école. Un simple physique, mit en valeur par l’argent de papa/maman, recouvert d’un caractère à faire passer le diable pour un véritable saint.



Est-il nécessaire d’aimer un personnage pour ne pas apprécier la qualité d’une œuvre littéraire? Absolument pas.

J’ai apprécié l’éclairage unique apporté sur la guerre de sécession par Mme Mitchell.

Il n’est pas seulement question ici d’un personnage emblématique mais d’un morceau de l’histoire américaine.



Si cette œuvre littéraire est encore aujourd’hui considérée comme un classique, c’est justement pour sa capacité à nous interroger sur notre monde.



Après tout, c’est ainsi que débute chaque travail de mémoire.



Cette lecture en appelle d’autres :

- La guerre de sécession de John Keegan [A lire]

- De l’émancipation à la ségrégation : Le sud des états-unis après la guerre de sécession de Nicolas Barreyre et Paul Schor. [A lire]

- Une institution très particulière : l'esclavage aux État-Unis 1619-1877 de Peter Kolchin [Déjà lu]★★★★

- La case de l’oncle Tom de Harriet Beecher Stowe [Déjà lu]★★★★

- Mémoires d’un esclave de Frederick Douglass [Déjà lu] ★★★★★★★
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Autant en emporte le vent, tome 1

Que pourrai-je écrire sur ce roman.

Je l' ai lu pour valider 2 challenges

A mon age je ne l avais jamais lu.

Je ne vous ferez pas de résumé .

Sachez que j'ai aimé moyennement , j'ai trouvé qu'il y avait des longueurs.

Peut-être que connaissant l histoire j'étais moins motivée pour parcourir ce pavé .

Je vais bientôt commencer le tome 2.

Un classique que j'aurai lu à bientôt pour le t2 .
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