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Détective Robert Hunter

Série de 3 livres (En cours). Écrite par Chris Carter (II) (3),


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Dernières critiques
Le prix de la peur

Deuxième titre de l'auteur que je lis et une fois de plus j'ai adoré ce thriller. On plonge directement dans l'intrigue, intrigue qui tient en haleine jusqu'aux dernières pages. Certaines scènes sont vraiment dures à lire, les descriptions font froid dans le dos, mais parfois on aime se faire peur non ? Un thriller comme je les aime et que j'ai eu du mal à reposer en cours de lecture.
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Le prix de la peur

Chaque individu a en lui une peur viscérale. Le tueur exploite la peur de ses victimes pour les faire souffrir atrocement avant de les tuer. Accrochez vous car cet excellent thriller va vous secouer les tripes ! Ce roman n'est pas la suite de La marque du tueur du même auteur, mais une nouvelle enquête de Rob Hunter. Régalez-vous !
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La marque du tueur

Un thriller comme on les aime. Tous les ingrédients sont réunis, un héros tourmenté, une série de meurtres bien trashs, dans un Los Angeles qui ne se résume pas qu'aux beaux quartiers. Et même si on a une sensation de déjà vu, déjà lu, on dévore les pages de ce roman avec avidité.
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Le prix de la peur

Peur : nom commun, féminin … La peur est-elle si « commune » ?

« Tout le monde a peur de quelque chose. Pas forcément une peur panique, mais si on creuse assez profond on découvre que chacun de nous redoute viscéralement quelque chose…. »



Vous, c’est quoi ?

Rien ? Pas grand chose ? Bien sûr, il est plus aisé de faire « comme si… », comme si rien ne nous touchait, comme si rien ne pouvait nous briser, nous anéantir par la peur ….

On a tous, tapies au fond de soi, une peur, des peurs, des angoisses … On s’applique à les oublier, à les éviter, à les dominer, à les esquiver pour que jamais elles ne nous rattrapent …



Le tueur de l’ombre, dans ce roman, a décidé, de faire vivre à chacune de ses victimes, leur peur jusqu’au bout. Repoussant les limites du supportable, tant pour les personnes qu’il prend pour cibles que pour nous, pauvres lecteurs, les poils hérissés de tant d’horreur et résignés à tourner les pages de plus en plus vite, ventre noué, en espérant un mieux …. En souhaitant que les policiers comprennent au plus vite le mécanisme particulier de l’esprit tourmenté de celui qui ne tue pas au hasard, qui semble connaître parfaitement ses proies, choisies avec soin ….



Je ne sais pas si c’est lorsqu’il a travaillé au bureau du procureur du Michigan comme psychologue criminologue, que Chris Carter est allé chercher l’inspiration, mais son intrigue est diablement bien ficelée. Les terreurs des souffre douleurs sont exploitées sous différentes formes et vous entraînent au plus profond de la souffrance. Il a eu l’intelligence de ne pas tomber dans le « gore » pour les différentes scènes de crime. Les faits, horribles, terribles, sont là et la description au scalpel suffit à vous donner la chair de poule. Et cela rajoute à la force du roman, car l’imaginaire prend le relais, fait le reste et tout cela vous hante.

Les livres, qui continuent à vivre en vous lorsque vous les posez, sont rares. Celui-ci en est un. Comme Hunter et Garcia, les policiers menant l’enquête, j’ai gardé chaque détail, chaque indice en mémoire, cherchant, avec eux, à exploiter chaque piste, ne voulant rien abandonner sans aller jusqu’au bout. Ces deux hommes, n’obéissent pas toujours aux codes dictés par leurs supérieurs. Parfois, ils laissent leur instinct, leur intuition, prendre le dessus mais aussi, ils réfléchissent, auscultent minutieusement chaque indication, en se disant que, peut-être, quelque chose va surgir, les menant sur une voie à laquelle ils n’ont pas pensé.



La traduction de Bernard Clément est de très bonne qualité, on pourrait sans peine croire que le français est la langue dans laquelle a été écrite ce polar. Félicitations à lui car l’exercice ne doit pas être facile.



L’écriture est fluide, pesée avec sobriété, je dis bien « pesée », en ce sens où chaque mot est à sa place, sobrement, mais tout à fait percutant pour le lecteur.

Au-delà de l’analyse des faits, des actes que les enquêteurs dissèquent, il y a la recherche des raisons profondes qui peuvent pousser un homme à agir ainsi, à chercher le mal pour le mal, comme s’il n’avait plus rien à perdre.



L’auteur nous emmène habilement de ci delà, à la suite des uns ou des autres.

Monica/ Mollie, qui va se retrouver, bien malgré elle, mêlée à tout cela, est « un plus » dans une histoire qui aurait pu sembler « linéaire ». Elle apporte une touche de surnaturel assez légère et permet de faire évoluer la situation l’air de rien.

Hunter, un des hommes qui mène l’enquête, a un caractère intéressant, son personnage pourra être creusé un peu plus au fil des romans s’il devient récurrent.

Quant aux autres protagonistes, ils sont tous très bien décrits mais cela je vous le laisse découvrir !



NB : Amateurs de bons romans policiers, foncez !!!


Lien : https://wcassiopee.blogspot...
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La marque du tueur

Un super thriller. Une intrigue rondement bien menée. Une série de meurtres sanglants...mon imagination m'a fait tourner de l'œil. Je recommande ce livre. Une ecriture fluide qui nous tient en haleine tout le long. Je vais me pencher sur d'autres romans de cet auteur
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