Cet ouvrage de 1960 est le septième et dernier de la saga des « Fulgurs » mais il s’en démarque un peu : si le monde est bien le même , les susdits Fulgurs n’y apparaissent que marginalement .Le héros en est Storm Cloud scientifique et casse-cou devenu expert dans l’art « d’éteindre » les tornades atomiques nées des réacteurs nucléaires qui dévastent de nombreuses planètes (inspiré par Red Adair ?) . Il est doté de capacités mentales extraordinaires (comme d’hab chez Smith) qu’il va utiliser en plus pour démanteler un gang interplanétaire de trafiquants de drogue ( comme Kinnison le Fulgur) aidé par une équipe de femmes de diverses planètes .On constate une répétition des péripéties , la place plus importante donnée aux femmes ( mais subordonnées tout de même,faut pas rigoler !) et l’existence d’une espèce supérieure qui vient remplacer les Arisiens curieusement absents . C’est de la SF de grand papa mais la lecture peut en être divertissante.
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