Rooo quel super roman ! J'ai adoré ce tome 5 ! Je ne me suis pas ennuyée un seul instant. Le rythme est soutenu tout au long du livre. Les rebondissements s'enchainent, ainsi que les révélations. J'adore suivre nos deux héros, Delilah et Samson. Ils sont drôles, intelligents, perspicaces. Et puis ils se tournent autour, ce qui ajoute un petit côté pimenté à l'histoire.

Nous avons ici affaire à un réseau de vol de moutons. J'avoue que je me sens bien dans ce milieu fermier. Je n'y connais rien, mais l'ambiance générale de la saga m'apporte beaucoup de paix et de bien-être (même s'il est question de crime ne l'oublions pas !).

Vraiment, je n'ai rien à redire sur ce tome. Il était génial !

Quel plaisir de retrouver dans le tome 2 « rendez-vous avec le mal » Samson et Delilah ce duo improbable mais tellement complémentaires.

Les détectives du Yorkshire c’est un cosy mystery rempli d’humour, d’entraide, de partage, de bienveillance et surtout de suspense hâte de lire la suite…

Neuvième tome des aventures de Samson et Delilah et c'est toujours autant un plaisir de lire leurs histoires !

Dévoré en une nuit!

Il s'en passe des choses dans le village de Bruncliff !

Je trouve la communauté, avec tous ses habitants, très attachante.

BREF, je reste une inconditionnelle de la série et j'espère qu'il y aura d'autres tomes !

PS: Samson et Delilah YES !

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Ahhh Bruncliffe : un village qu'on adore autant qu'on craint, tant il s'y passe de crimes ! J'ai été ravie de retrouver toute la population locale et de voir avancer l'enquête fil rouge principale, avec l'immobilier Procter. Tout ce qui fait le succès des précédents livres était réuni dans celui-ci, et on sait en débutant un nouveau tome des Détectives du Yorkshire qu'on va passer un bon moment. Je n'ai pas été déçue.

Je suis si contente de reprendre « goût à la lecture » avec ce roman.

J’aime tout dans cette saga, du moins dans les tome que j’ai déjà lu.

J’aime l’ambiance, les personnage, les décors..

J’aime aussi le duo que forme Samson et Delila.



Pour le moment cette saga -je n’en ai pas non plus lu des masses- de cosy mystery est ma saga chouchou.

Deuxième épisode de la série Les Détectives du Yorkshire, Rendez-vous avec le mal reprend quelques semaines après le premier opus.

J’avais particulièrement aimé cette première enquête et le charme opère encore une fois. Bien sûr, la surprise est passée. Mais on s’installe dans ce village anglais avec délectation.

Le fait de ne pas avoir à planter une nouvelle fois le décor et les personnages accélère le rythme dès le début. Samson et Delilah n’ont pas fait évoluer leur relation d’un iota et comme leur homologues bibliques sont partagés entre amour et énervement réciproque.

Les deux protagonistes majeurs de cette série vont pourtant faire encore un fois équipe à propos de deux mystérieuses affaires.

Un bélier de concours a disparu et le propriétaire demande l’intervention de Samson, détective privé temporaire de Bruncliffe, jolie village du nord de l’Angleterre. L’investigation est légère et très drôle. Mais les affaires sérieuses concernent plutôt la maison de retraite dans laquelle réside le père du détective. Madame Shepherd, une résidente, vient le voir pour signaler des disparitions d’objets inquiétantes, des soupçons qui lui font croire qu’on veut la tuer. Divagations de vieilles dames pense Samson.

En rendant visite à son père avec qui il essaye de rétablir des relations père fils normales, malgré un passé douloureux, il s’informe tout de même. Madame Shepherd est sujette aux pertes de mémoires. Son pilulier a disparu puis réapparaît, et puis, c’est madame Shepherd qui disparaît, définitivement. On retrouve son corps sans vie et Samson O’Brian ne semble pas d’accord avec la thèse officielle. Une enquête personnelle ne serait pas superflue. Il doit bien cela à la pauvre victime qu’il n’a pas su protéger. Et puis, rechercher un bélier, ça laisse du temps.

Enfin, enquête personnelle, il faut voir. Delilah Metcalfe ne l’entend pas de cette oreille et compte bien l’aider, voire le diriger dans les investigations. Tout du moins, essaye-t-elle. Son chien Caliméro, dont le nom lui va comme un gant (non pas qu’il ressemble à un petit canard, mais à son regard de chien peureux à qui il arrive tous les malheurs du monde) à ses côté pour notre plus grand plaisir.

Et puis de nouveaux morts surviennent. Bon, les résidents de la maison de retraite sont certes âgés, mais de là à ce que le taux de mortalité grimpe en flèche avec cette rapidité, c’est vraiment suspect.

Le style de Julie Chapman est toujours aussi dynamique et le courts roman se lit pratiquement d’une traite.

L’humour est encore une fois l’élément primordial qui me fait apprécier cette série de Cosy mysteries. Un humour, évidemment, typically british. Les personnages de la petite ville sont caractérisés avec un sympathique excès. Mention particulière à Ida, la femme de ménage qui semble tout savoir sur tout le monde, mais refuse de dire quoi que ce soit tout en le disant quand même.

Dans ce livre un peu champagne, on prend un bon bol d’air de campagne anglaise avec un thé bien corsé du Yorkshire.

Arrivé à la bibliothèque, je tombe sur ce roman que j’attends depuis sa parution : on le prête une semaine, je suspends la lecture en cours pour le lire. Je l’ai lu le temps d’un dimanche, tellement heureux de retrouver la paire des détectives du Yorkshire et leur communauté. Contrairement à d’autres séries comme celles de Sten ou de Läckberg, ici aucune trace d’essoufflement : Julia Chapman a réussi à rendre ses personnages tellement vivants. Longue vie à eux !

Ce quatrième tome des « Détectives du Yorkshire » est aussi le quatrième pour moi, mais sera le dernier sans doute. Car à force de tirer sur la ficelle, on finit par la casser.

J’ai trouvé l’énigme policière principale assez insignifiante : savoir qui empoisonne les chiens de Bruncliffe n’a pas chatouillé ma curiosité. On retrouve ici bien sûr les personnages habituels, dans des situations parfois bizarres. Ainsi Samson se voit-il accusé de meurtre (accusation que l’autrice développe très peu) ce qui le rend très impopulaire mais ne l’empêche pas de continuer à poursuivre ses activités dans le village. Autre sous-énigme un peu tirée par les cheveux : le poison ( n’est-ce pas de la drogue ?) introduit dans le casier scolaire du jeune Nathan, neveu de Dalilah, considéré dès lors sur le champ comme drogué, voire comme dealer

Beaucoup de blabla aussi dans ce roman sauvé un peu par son atmosphère « so british », mais que l’on finit par connaître par cœur…