Troisième livre de cette saga qui est lié de loin avec la parentalité de deux personnages dont on aura des nouvelles que par une lettre.

On ne saura rien à propos des personnages de deux premiers tomes.

L’histoire est plate, remplie de clichés, les conversations sont monotones, les répliques ennuyeuses…

Bref, je finis cette saga en m’obligeant de la lire mais je n’ai attaché aucun goût aux personnages…

Quel plaisir à la lecture de ce 2ème tome. Cette fois-ci, nous allons connaître la suite de deux sœurs orphelines envoyées en Australie.

J’ai particulièrement aimé suivre leurs aventures, on a l’impression de voyager avec elles, on suit les saisons et les paysages australiens. On souhaite leurs retrouvailles. On suit l’histoire et les luttes des femmes et des classes sociales à travers l’Irlande, l’Angleterre, l’Australie. Bref, un voyage dépaysant qui m’a bien captivée !

Je suis tombée par hasard sur ce roman, sans avoir aucune idée ni recommandation et quelle belle surprise !

Un roman entre l’Irlande et l’Australie où il est question de la place de la femme, dans les classes sociales, dans le foyer, dans la société. Il est aussi question d’exile, d’entraide, de mariage par convenance et bien évidemment d’histoire. Bref, un doux mélange qui nous invite à voyager. Hâte de connaître la suite !

Tome 3 des Pionnières, cette fois ci on y retrouve Hannah, la mère de Malachi. Contrairement aux 2 précédents volets, tout le livre se passe en Angleterre, ce qui n'est pas déplaisant. Toujours dans la même trame, les destins croisés de plusieurs bonnes personnes, embrumés par les mauvaises, que l'on prend toujours plaisir à détester. Dans ce tome, j'ai eu plus de mal avec la violence faite aux femmes, à une époque où malheureusement la plupart n'avaient pas leur mot à dire et n'étaient pas considérées. On y évoque aussi la folie, la pauvreté, et les différences de classes sociales. J'ai aimé ce livre

Deuxième tome des pionnières, on y retrouve Mara et Ismay qui font route vers l'Australie. À bord, on découvre la douce sœur Catherine et la mère supérieure acariate vieille femme. Puis Malachi, qui vogue aussi vers l'Australie après le décès de son paternel, dans l'espoir d'y trouver avenir meilleur.



Bien entendu sur le sol Australien, la famille Mullane est de la partie. Keara a toujours espoir de retrouver ses sœurs. Mark Gibson sera là également. Tous les personnages pour lesquels je me suis pris d'affection dans le tome 1.



Séparément, ou ensemble ils vivront encore moultes péripéties, dans l'espoir de se retrouver, et d'avoir une vie meilleure.

Un peu décontenancée au début par le passage des récits d'un personnage à l'autre, on comprend vite que tous ces personnages (vaillants ou exécrables) nous mènent à un final commun. On plonge en 1859, où Lord, ladies, gens du peuple, domestiques se croisent et vivent voyages et péripéties, n'hésitant pas (ou contre leur grès) parfois à quitter leur pays pour l'autre bout du globe.

Ismay et Mara, deux sœurs envoyées en Australie contre leur gré et séparées à leur arrivée, découvrent la vie dans ce pays tout en se cherchant mutuellement.

Keara, la troisième sœur, est également à leur recherche.

C'est le deuxième tome de la saga Les Pionnières. J'aime toujours autant. C'est fluide.

Il y a beaucoup de personnages qui se croisent mais cela reste clair. Il n'y a pas de confusion.

J'ai aimé le fait que ce tome soit plus axé sur Mara et Ismay, c'est dynamique. On s'attache vite aux personnages.

Typiquement le genre de saga que j'aime !

Keara vit dans une famille pauvre d'Irlande. Elle est embauchée comme femme de chambre pour l'épouse de la famille Mullane.

Devenues orphelines, ses sœurs sont envoyées en Australie. Keara part les chercher.

Mark immigre en Australie pour fuir son passé. Il s'y construit une nouvelle vie.

Leurs destins vont se croiser.

J'ai dévoré ce livre. Ça se lit bien, c'est hyper fluide.

J'aime beaucoup ce genre de lecture parce qu'on apprend beaucoup sur l'histoire. C'est une autre façon de découvrir l'histoire de l'Australie.

C'est une saga familiale, on sait que ça se finit bien dans tous les cas.