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Les Ravenel, tome 6 : Ma très chère Cassandra

Bon, bon, bon… Ouais, cette formulation ne présage, en général, rien de positif. Sur le papier, j’aurais dû adorer ce roman, vraiment. Le magnat froid et sexy qui s’éprend d’une jeune première résolue à croire en l’amour, ça peut être cool, promis. D’ailleurs, il est arrivé que madame Kleypas me fasse froufrouter grave avec ce synopsis. Sauf que… sauf que Cassandra m’a laissé dans une indifférence royale. Je crois que sa caractérisation manque de relief, elle n’est rien de plus qu’une débutante qui souhaite se marier et trouver l’amour. Là, tu vas me dire que tu me connais pour savoir que le héros, même avec une dinde pour partenaire, pourrait suffire à me convaincre. Tom se révèle toutefois bien fade comparé au personnage secondaire offert dans les opus précédents. S’il est féroce dans les affaires, on comprend tout de suite qu’il est tout autre en réalité. Ça manque de sel et de piment… Même les « méchants » du récit, un lord Connard insupportable, ainsi que son pédant de fils, n’ont aucune saveur.



Alors qu’en général je reproche à Lisa Kleypas ses trames secondaires, rocambolesque, cette fois l’autrice fait dans la mesure. Toutefois, sans l’excellente caractérisation habituelle des personnages, Ma très chère Cassandra n’a plus grand-chose à offrir. Romance mignonne et oubliable, ce sixième volume de la saga me pousse à me demander, avec inquiétude, ce que me réservera le dernier tome des Ravenel…
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Les Ravenel, tome 5 : Lady Phoebe

Bien que la saga des Ravenel ne puisse certes pas rivaliser avec La Ronde des Saisons ou Les Hathaway, j’avoue que je savoure toujours par avance d’avoir ma petite dose de romance froufroutante et sucrée. Sur quelle ficelle bien connue madame Kleypas allait-elle cette fois tirer ?



Ah la jeune veuve, archétype ô combien éculé en terme de romance en corset ! Pour moi, c’est particulièrement une prise de risque puisque je ne me suis jamais totalement remise – dans le bon sens – de la Francisca de Julia Quinn. Depuis, je ne supporte plus les jeunes premières, veuves, qui ont eu un mariage affreux et/ou sans amour. Parce que bon entretenir l’idée d’un seul amour qui serait prédestiné, ça me gonfle.



Fort heureusement, ici, ce n’est pas le cas. Car Phoebe a vraiment aimé Henry, son premier mari, dont elle a eu deux fils. Ok , Ok, le coup de celle qui épouse un homme plus ou moins déjà condamné c’est du déjà vu, mais l’autrice a l’intelligence, dans Lady Phoebe, ne pas en faire des tonnes sur cette question. Quant à West… Ah West… Ouais il est cliché, le brun au passé de fripon qui pense ne pas mériter d’être aimé, c’est éculé. N’empêche que ça a fonctionné sur mon petit cœur de midinette ! Reste que la romance en elle-même est du genre vite lue vite oubliée. Du moins elle le serait sans quelques passages avec mon héros de romance préféré de tous les temps : Lord St. Vincent, en père de l’héroïne. Malgré les années, j’avoue que je l’adore.



Comme toujours depuis le début de cette saga, Lisa Kleypas nous offre une romance très chouette et qui fonctionne sans pour autant avoir l’étoffe des récits qui nous emportent follement. Et, franchement, du moment que ça froufroute, c’est déjà pas mal, non ?
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Les Ravenel, tome 3 : L'insoumise apprivoisée

Mais quel plaisir de revoir les personnages de "la ronde des saisons", ça m'a donné envie de relire cette série que j’avais vraiment beaucoup aimée.

Nous voici de retour avec la famille Ravenel, ce tome est dédié à Pandora la petite sœur d’Helen.

Pandora est une jeune femme, belle et intelligente qui dénote de toutes les autres jeunes filles de l’époque. Elle ne cherche pas un époux, elle veut être indépendante et a en plus l'appui de sa famille.

Avec un passé familial douloureux et sans amour, elle s'est construit un fort caractère qui ne va pas laisser de marbre Gabriel. Qui n’est autre que le fils de lord Saint-Vincent et d’Evangeline (les héros du tome 3 de la ronde des saisons)

Lors d’un bal, en se promenant dans les jardins, il va trouver la demoiselle dans une situation embarrassante, voulant l’aider, ils seront surpris en fâcheuse position.

Gabriel est très séduisant et charmeur, il va rapidement voir les qualités de Pandora, cachés sous cette montagne de maladresse, et tout mettre en œuvre pour qu'elle accepte sa demande en mariage.

On adore leur joute verbale, les situations rocambolesques et encore plus toutes les approches et différentes techniques de séduction de Gabriel pour faire flancher Pandora.

Une lecture très agréable, qui m’a énormément plu, j’avais le sourire aux lèvres très régulièrement, je me suis vraiment aéré la tête.

Livre lu pratiquement en une nuit, je n'arrivais pas à le poser, il m'a totalement détendu, sans prise de tête, une romance historique comme je les aime. J'ai retrouvé l'atmosphère de la ronde des saisons et j'en suis très contente.



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Les Ravenel, tome 4 : L'inconnu

Comme toujours dans les sagas de madame Kleypas, nous connaissons déjà les jeunes premiers grâce aux tomes précédents. Cela a ses avantages – j’attends d’ailleurs avec une farouche impatience la romance avec Severin -, mais aussi ses inconvénient comme j’ai pu le confirmer en découvrant le résumé de L’Inconnu...



Bien que l’autrice se soit, de manière fort lointaine, inspirée de la très réelle Elizabeth Garrett Anderson, je me suis un peu méfiée de cette héroïne ouvertement féministe, courageuse et attachante. Comme pour l’opus précédent, je craignais que les ficelles de son histoire d’amour ne soient trop grosses pour m’emporter. Or ce ne fut certes pas le cas… Soit, ce n’est pas crédible par biens des aspects, pourtant j’’ai beaucoup apprécié sortir de la bonne société pour rejoindre le Dr Gibson.



Le quatrième tome des Ravenel nous offre une jolie histoire d’amour, avec quelques péripéties médicales fort sympathiques. Hélas, le point faible de madame Kleypas reste toujours le même : les complots et enquêtes ne sont pas toujours très bien menés.



Reste une romance qui froufroute de manière convenable et qui ne freine pas du tout mon envie de découvrir la suite des Ravenel…
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Les Ravenel, tome 3 : L'insoumise apprivoisée

Après un premier tome un brin décevant, la suite des Ravenel, Une Orchidée pour un Parvenu avait été un moment de lecture agréable et à la hauteur de ce que j’apprécie d’ordinaire chez Lisa Kleypas. Pour L’Insoumise apprivoisée, j’avais quelques réserves. Comme d’habitude, tu me diras, ami-lecteur… Pourquoi cette retenue ? À cause du personnage au premier plan dans l’opus qui nous intéresse.



Une femme ambitieuse ? Oui, je sais, sur le papier, c’est une idée fort alléchante. Dans les romances froufroutantes, ça a souvent ses limites. Le plus souvent, il y a deux sortes de destins qui attendent une jeune première obsédée par un projet professionnel : soit elle le sacrifie, en grande partie, pour l’histoire d’amour qu’elle va vivre – et, sincèrement, cette option me rend presque folle de rage – soit elle parvient à lier les deux, une indépendance brillante et un mariage réussi. Peut-être imagineras-tu que cette seconde possibilité emporte forcément mon adhésion, - moi, la féministe revendiquée – sauf que pas vraiment… Si je suis bien contente pour la demoiselle en question, l’autrice ne réalise, généralement, ce tour de force qu’en dédaignant avec insouciance les réalités historiques de l’Angleterre du 19e siècle. OK, OK, il ne s’agit « que » de romance froufroutante, non d’un manuel d’histoire, néanmoins, à mon avis, on ne badine pas avec une cohérence minimale. Bref, tout ça pour dire que j’entrais dans L’Insoumise apprivoisée avec encore plus de méfiance que d’habitude...



Concernant la trajectoire de Pandora, j’ai été plus que ravie. Car si l’héroïne ne sacrifie pas son rêve – ouf – elle devra toutefois faire des concessions véritables à cause des lois de son époque, misogynes. Cette thématique, l’effacement de l’épouse, légalement, au profit de son mari, est ce qui m’a permis d’aimer ce troisième tome des Ravenel. Ça, et le fait de retrouver, dans le rôle du héros, le fils de mon crush de La Ronde des Saisons. Le reste ? Et bien, ça part un peu dans tous les sens avec, finalement, beaucoup – trop ? - de sujets abordés… Un défaut qui ne m’a guère surprise dans un roman de Lisa Kleypas.



Au mot fin, j’étais prête à mettre un 12 tout à fait convenable à L’Insoumise apprivoisée. Je vais néanmoins rajouter un demi-point. Non pour le roman, mais pour les « rajouts ». Les notes de l’auteur, chez madame Kleypas, sont toujours à la fois pertinentes et passionnantes. Une fenêtre plaisante sur l’histoire anglaise – ici avec la médecine et des jeux de société. Enfin, l’autrice nous offre une recette – en rapport, bien sûr, avec le roman. Si je n’ai pas essayé cette dernière, j’avoue adorer l’idée !
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