Le voile sur les différents mystères des deux premiers tomes est levé. L'héroïne principale de ce dernier tome est Petit Verglas, drôle de surnom pour une jeune fille qui n'en a jamais eu. On sait d'où elle vient et on sait où elle va, ce qu'elle fait pour se venger est minime par rapport à tout ce qu’on lui a pris.

Le petit tournant fantastique est plutôt bien vu.

J’ai bien aimé la lecture de ce triptyque.

La jeune fille avait brisé ses chaines, le jeune homme croyait pouvoir la sauver mais tout s'inverse à nouveau. Les liens entre les personnages sont plus précis et c'est tant mieux.



On peut noter une petite apparition furtive de Sigmund Freud pour situer l'époque.

Une gamine enfermée quelque part, un scientifique qui se prend pour un génie, un gamin qui va devenir son élève, un autre qui découvre qu’il a un don, une femme qui n’a pas le droit de parler.

On s’y perd un peu. Tant d’histoires sont développée, rien de précis ne ressort de ce premier tome. C’est malin, ça donne envie de lire le deuxième.