Azemichi Shijima est un jeune lycéen qui adore l'humour et n'hésite pas à envoyer des répliques comiques à son émission favorite où il est connu sous le pseudo de Everyday Shijimi. Mais Azemi est terriblement timide et souffre d'anxiété sociale. Taiyô Higashikata, lui, est un ancien jeune acteur prodige qui a joué dans des séries TV. Déterminé à devenir un grand humoriste et a remporté les deux plus grands concours humoristiques du Japon, il s'est inscrit au spectacle comique du Festival de la culture du lycée. Problème : il lui manque un partenaire pour ses sketchs et surtout, il n'a toujours pas de sketch ! Ces deux-là étaient donc faits pour s'entendre... Taiyô, voyant tout le potentiel comique d'Azemi, va convaincre ce dernier de devenir son partenaire malgré sa timidité.
Un shonen qui parle de l'humour, ce n'est pas courant. Plus précisément dans ce manga, l'auteur nous dévoile l'univers du manzai, stand up humoristique où deux comédiens se répondent, avec l'un qui joue l'idiot et l'autre qui lui rabat le caquet, véritable institution culturelle au Japon. "Show-ha shoten" met donc en scène deux adolescents qui, sur scène comme dans la vie, nous offrent des calembours et des quiproquos vraiment drôles. de personnalités très différentes, ils se complètent à merveille, l'un doué pour l'écriture de sketchs, l'autre l'improvisation et la scène.
L'auteur nous dévoile d'ailleurs tout l'envers du décor d'un sketch : la préparation, les stratégies mises ne place pour faire rire le public, les mécanismes du rire. C'est un véritable plan de bataille qui donne de l'intensité à une intrigue qui pourrait paraître assez plate au premier abord.
Enfin, "Show ha shoten", c'est aussi la détermination de deux jeunes bien décidés à réaliser leurs rêves. Il faut savoir s'opposer à ses parents pour affirmer ses choix, pas toujours les plus rassurants pour l'avenir effectivement... Mais les deux compères sont attachants et forment un duo très positif. En tant que lecteur, on ne peut qu'apprécier la relation complice qui se tisse entre les deux.
C'est drôle, c'est pétillant, c'est sympa, c'est à suivre !
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Un très bon premier tome, qui rappelle les débuts de Bakuman, aussi illustré par Obata. C'est du pur shonen, dans un milieu rarement abordé par le manga, et c'est très prometteur. Le dessin d'Obata est toujours aussi sublime, même s'il cherche moins la splendeur visuelle que dans Platinum End par exemple. J'ai hâte de découvrir la suite.
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Merci à l’éditeur de m'avoir fait découvrir l'univers des mangas. J'aime beaucoup les BD et je souhaitais profiter de l'opération masse critique pour élargir mes connaissances.
je ne suis pas déçue mais un peu déroutée. J'ai beaucoup aimé les dessins très expressifs . Quel coup de crayon. Je suis plus réservée sur le contenu de l'histoire qui m'a paru un peu simpliste. Mais je manque de termes de comparaison. Je pense toutefois faire le bonheur de mes petits-enfants qui vont pleinement apprécier cet opus.
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