Dinan, à l’image des cités animées, s’enveloppe, le soir venu, d’un fumer qui guide le pas du voyageur affamé. Les courants d’air brassent des odeurs de cuisine variée et l’on ne sait bientôt plus dans quelle venelle s’aventurer ni sur quel trottoir s’arrêter pour manger car les restaurant aux portes encore fermées soumettent le nez à des choix difficiles.