« Quand on désire quelque chose que l’on n’a pas, on se sent comme un mendiant. Mais quand on apprécie ce que l’on a, alors on est roi. »
Tu sais, les croyances divisent, Hilmu, jamais elles n’unifient. Hindouisme, bouddhisme, christianisme, communisme, capitalisme, nationalisme... Ceux qui se réfugient dans une croyance s’opposent à ceux qui cherchent la vérité dans une autre.
"Le meilleur n'a pas d'avenir. Reste le pire, dont le meilleur est à venir." (p. 72)
"Il éprouvait l'étrange désir de devenir un pont. Celui qui relierait les deux rives et par lequel l'infinité de la folie rejoindrait la platitude concrète du réel." (p. 10)
"Elle occupait le château des compartiments de son coeur, le soulageait de ses croyances, lui permettait de transgresser ses limites. Elle lui donnait l'énergie de lutter à chaque seconde pour se sauver de la médiocrité ; l'empêchait de s'enfoncer dans une existence automatique, qui le dispensait d'être, loin des innombrables tracasseries existentielles." (p. 21)
"Sachez jeune homme que je n'ai jamais trompé ma femme ! Je me suis trompé de femme, voilà tout." (p. 59)
« Aucun passage du Véda sacré, la fondation même de l’hindouisme, ne parle de castes. » (p. 13)
"U n'en peut plus. Il a l'impression d'être dans un roman écrit par un cinglé." (p. 91)
La chaleur se lève avant nous et avec elle s'évapore toute motivation d'affronter le soleil.
« Ceux qui se réfugient dans une croyance s’opposent à ceux qui cherchent la vérité dans une autre. » (p. 160)