Nationalité : États-Unis
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Biographie :
Claire Legrand est une écrivaine américaine de littérature pour enfants et jeunes adultes, dont des romans et des nouvelles. Elle est surtout connue pour sa trilogie à succès Empirium du New York Times, publiée par Sourcebooks Fire.
Claire Legrand est une écrivaine américaine de littérature pour enfants et jeunes adultes, dont des romans et des nouvelles. Elle est surtout connue pour sa trilogie à succès Empirium du New York Times, publiée par Sourcebooks Fire.
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Trailer Une couronne de lierre et de verre, Middlemist T.1, de Claire Legrand
Citations et extraits (11)
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Attention, Gemma, c’est de la femme que j’aime que nous parlons. Je suis sérieux. Prends soin d’elle. Aime-la pour moi.
~
Prend soin d’elle pour moi. Aime-la comme elle le mérite.
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Prend soin d’elle pour moi. Aime-la comme elle le mérite.
- Tu me rends plus forte que je ne l'étais, près de toi, je me soucie moins de la profonde souffrance que j'éprouve à vivre dans mon corps, quand tu me regardes, je me sens belle, pas à cause de mon physique, du nom de ma famille, ou de toutes les richesses que je possède, mais parce qu'à tes yeux je vaux quelque chose.
𝑱𝒆 𝒄𝒉𝒂𝒓𝒎𝒆𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒎𝒊𝒍𝒍𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒅𝒆 𝒈𝒖𝒆́𝒓𝒊𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓𝒔, 𝒋'𝒊𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒂𝒖 𝒃𝒐𝒖𝒕 𝒅𝒆 𝒎𝒐𝒏 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒆𝒕 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒆𝒏𝒄𝒐𝒓𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒕'𝒂𝒊𝒅𝒆𝒓.
- Je suis désolée, ai-je commencé.
Mais Père a pivoté et a pointé un doigt furieux sur moi.
- Ne t'avise pas de t'excuser, a-t-il répliqué. Tout ce que tu pourrais avancer pour justifier cet acte impardonnable ne fera que m'irriter davantage. Fille stupide et égoiste.
Mais Père a pivoté et a pointé un doigt furieux sur moi.
- Ne t'avise pas de t'excuser, a-t-il répliqué. Tout ce que tu pourrais avancer pour justifier cet acte impardonnable ne fera que m'irriter davantage. Fille stupide et égoiste.
La Brume n’était plus très loin maintenant, et j’étais transie de peur en approchant son voile chatoyant, mais j’ai continué, ignorant les cris de Farrin et de Père quelque part derrière moi. Ils m’ordonnaient, me suppliaient, d’un ton frénétique, de m’arrêter.
La guerre de mon père avec la famille Bask était son problème, pas le mien. Si ma soirée servait ses desseins et lui donnait un avantage dans ce combat, tant mieux. Lui et Farrin pourraient cancaner, fanfaronner et comploter autant qu’ils le voudraient. Je m’assurerais d’inviter les Bask, mais c’était tout ce que je ferais. Ils ne m’avaient jamais demandé mon aide dans la guerre rancunière et stérile qui opposait nos deux familles, et je n’avais pas l’intention de la leur proposer.
- Splendide, ai-je murmuré.
Parce que je l'étais.
Puis j'ai glissé des mains tremblantes le long de ma silhouette, parce que aussi belle que je l'étais, je savais que je pouvais l'être encore plus. Je pouvais être éblouissante. Je pouvais avoir Edyn à mes pieds et voir chacun de mes semblables, qu'il soit élu ou ignoré des dieux, supplier pour m'approcher, pour obtenir ne serait-ce que la plus petite faveur, le moindre de mes regards.
Si seulement j'avais le courage d'essayer.
Parce que je l'étais.
Puis j'ai glissé des mains tremblantes le long de ma silhouette, parce que aussi belle que je l'étais, je savais que je pouvais l'être encore plus. Je pouvais être éblouissante. Je pouvais avoir Edyn à mes pieds et voir chacun de mes semblables, qu'il soit élu ou ignoré des dieux, supplier pour m'approcher, pour obtenir ne serait-ce que la plus petite faveur, le moindre de mes regards.
Si seulement j'avais le courage d'essayer.
On peut passe nos vies à s'inquiéter pour des "si", ou bien on peut s'aimer chaque jour durant, prêts à faire face ensemble à tout ce qui se présentera.
J’adorais, plus que tout, les commérages. En raison de ma sensibilité maladive et débilitante à la magie, j’étais souvent confinée à Ivyhill, sous la surveillance attentive de mon père. Durant ces périodes, il me semblait que le reste du monde avait cessé d’exister et que j’étais seule, prisonnière de la toile effilochée de ma panique et de ma frustration.
Et aujourd’hui, douze ans plus tard, j’étais la sœur à la vie éblouissante, dorlotée, surprotégée, doucement consumée par les braises de la culpabilité, tandis que la pauvre, l’infortunée Mara vivait paisiblement à Rosewarren, baignée par la conscience tranquille de sa propre noblesse.
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