Au terme de ses études, il intègre, dès la Libération, les Ponts-et-Chaussées de Lyon pour participer aux réparations d'après-guerre. Il rejoint ensuite le secteur privé et participe aux grands travaux hydrauliques de la vallée du Rhône, puis à la mise en valeur du Languedoc-Roussillon. Il exécute deux missions en Afrique, un barrage dans l'Aude, et prend sa retraite.
Il rejoint alors l'Anjou, patrie d'une branche de sa famille, se fixe Mûrs-Érigne, où il fonde et préside l'Association Généalogique Ligérienne.