Tout en les observant, je me disais que le Passager avait beau se débarrasser de tous ceux qui lui devenaient proches, il ne parvenait néanmoins pas à se passer de la compagnie des autres. Il lui fallait toujours quelqu’un à ses côtés. Il n’échappait donc pas aux paradoxes qui hantent depuis toujours le genre humain.