Moi, j’attends, le cœur battant d’un délicieux émoi, ta première étreinte. Tu vas me faire souffrir dis-tu. Tant pis, mais dis-moi que tu seras heureux dans mes bras, que j’entendrai ton cri de victoire, ton cri de mâle, quand tu m’auras dans tes bras, meurtrie, vaincue, à bout de forces !