Je pense que c’est une erreur de m’avoir perçu méchant. Je ne me suis jamais senti provocateur ou rebelle. […] Cette vision négative s’appuyait pour une grande part sur les scènes sexuelles de mes livres, or je n’ai pas le sentiment que mes livres précédents soient une succession ininterrompue de scènes de sexe. […] Les scènes sexuelles n’y jouaient pas un rôle démesuré, pas davantage en vérité que celui qu’elles jouent dans la vie.