Avec une douceur infinie, je le sens m’attraper par les cuisses et me porter, telle une princesse. Bien que je ne sache pas où il m’emmène, car je garde les yeux obstinément fermés contre le cou de mon bel Italien, je sais que nous ne retournons pas dans le café. Adriano a compris ma détresse et ne me ferait pas l’affront de m’emmener de nouveau là-bas.