« Il est magnifique, ton Tony », lui murmure-t-il à l’oreille.
Il pense chaque mot qu’il vient de souffler à son fils.
Magnifique parce qu’il est là, alors que rien ne l’y oblige.
Magnifique parce qu’il a aimé son fils sans le juger.
Magnifique parce qu’il a donné du plaisir à ce corps abîmé et montré à son fils qu’il pouvait être désirable et désiré.
Magnifique parce que son fils l’est aussi. »