L'abondance de somnifères dans son estomac ne s'explique pas non plus : l'a-t-on forcée à ingérer les pilules ou les a-t-elle prises de son plein gré ? La police pourrait alors avoir eu raison depuis le début : épuisée par des années de solitude et de changements d'identité, ne supportant plus sa vie d'espionne, elle aurait mis fin à ses jours au milieu de nulle part, sans laisser de traces. Du travail de pro, tant le mystère autour de sa mort reste épais.