Collectionner, c’est amasser au-delà du raisonnable. Cette pulsion ne peut qu’être sous-tendue par l’irrépressible souffrance de ne pas avoir l’œuvre considérée essentielle d’un artiste, d’une période, d’un mouvement qui satisferait en apparence cet impérieux désir-besoin. Une fois acquise, la dernière pièce ne fait qu’exacerber l’effet de manque….