Chaque jeune se débrouille comme il peut, pour gagner sa vie. Nos politiques ne pensent qu’à leurs ventres. Que vaut le peuple quand il y a de monstrueux budgets à se partager ? Ici on dit que tant que Yaoundé respire, le Cameroun vit. Il faut souvent accepter un métier au salaire d’esclave pour payer son loyer.