La plaine où l'on se tue, où l'on meurt, où l'on souffre,
Est toute jaune ainsi qu'une cuve de souffre ;
Le vent soulève encore une odeur de poison
Et des nuages verts nagent à l'horizon.
Dans les boyaux, cherchant d'humaines agonies,
Les gaz rampent, semeurs de spasmes et d'asphyxie ...