Le monde n’est solide et atroce, [...] que parce qu’on le contemple avec un regard humain épuisé qui engendre l’illusion. L’homme voit tout au travers de ses besoins, de ses désirs et de ses peurs, et tord la réalité pour la faire correspondre à sa vision. Le monde qu’il voit n’est pas réel, c’est une illusion, une tromperie.