Je mets à profit mon temps d’attente. J’en apprends sur des patrons idiots et des boulots que je n’aurai jamais, et sur des endroits du monde que je ne verrai jamais, et sur des maladies que j’espère ne jamais contracter, et sur différentes sortes de chiens que des gens ont possédées, et ainsi de suite. Par le biais d’un ordinateur ? Non. Par le biais de l’art qui s’est perdu de la conversation.