Je m’égare avec l’image de Gabriel incrustée sous chacune de mes pensées. Je suis une façade, vide, creuse, en sursis. Mon cœur, lui, hurle en silence… Condamnée, brimée, je n’ai plus le choix : je m’occupe l’esprit au maximum, tente de faire illusion par n’importe quel moyen.