Moi, je suis une fille qui a toujours aimé les hommes qui réfléchissent. Les intellectuels. Que voulez-vous on ne se refait pas ! J’ai toujours désiré me faire baiser par un cerveau puissant. Un cerveau qui, en me pelotant les seins, invente des idées qui me frappent par leur justesse et auxquelles auparavant je n’avais jamais pensé. Un cerveau qui, en déchirant mon string, développe de subtils raisonnements dont les brillantes conclusions me coupent le souffle, tout autant que sa queue.
Je me souviens de Madonna, jeune italienne pulpeuse du Michigan qui, forcément, intervient quelque part, à la source des premiers émois sexuels de ceux qui, comme moi sont nés au début des années 70. Un shooting à Brooklyn. Ses sublimes seins de vingt ans : elle est nue, allongée sur le côté ; pour cacher sa chatte, elle rapproche les jambes autour de sa belle touffe luxuriante.
Je ne veux pas savoir les morts, les famines, les tremblements de terre, les guerres, les attentats, les maladies, toutes ces horreurs, ces trucs inexpliqués qui nous laissent sans voix, ces malheurs sans rémission, listing infini de toutes ces avanies que rien ne peut venir contrebalancer ; moi je regarde du porno.