Dans un monde en perpétuelle dégradation, dont l’avenir n’a pas l’air prometteur, ces archives sont aussi pour moi la façon la plus évidente de me raccrocher à un passé qui devient flou et fuyant. Puisque la République a déjà connu le bonheur, elle peut le retrouver. Ces pages serviront peut-être un jour de pont entre nos ancêtres et nos descendants, car elles donneront à ces derniers les clefs d’un âge d’or qui peut encore renaître, j’en suis certain.