Tu ne tenais pas à moi. Mais tu es furieux qu’un autre s’intéresse à ma personne. Tu me vois toujours comme ton bien. Tu es de cette race d’hommes qui considèrent la femme comme une esclave à leur usage. Tu crois toujours que je t’appartiens au même titre que tes meubles ou ta voiture. Et j’ai eu beau m’en aller, mettre de la distance entre nous, tu ne peux admettre que j’appartienne à un autre, même si tu m’as trompée honteusement durant des mois de vie conjugale.