Maya (II)

Pas franchement convaincue...



Je suis plutôt très rose, très kawaii, personnages tout ronds et mignons mais là, Miriya & Marie, Magiciennes à Paris n'a pas su me séduire.



Alors, certes, ça fait plaisir de retrouver Marie des Aristochats, qui est l'un de mes personnages préférés mais je me demande encore ce qu'elle fait là. N'importe quel autre personnage aurait fait l'affaire, mais bon sang pourquoi Marie est-elle professeur de magie subitement ?



Nous n'en saurons rien. Car, disons-le, il n'y a pas vraiment d'intrigue ou de cohérence. C'est une succession de chapitres dans lesquels Miriya exerce la magie, la plupart du temps pour changer de tenue, de coiffure ou faire apparaître des pâtisseries...

Quant aux morales en fin de chapitres, c'est un peu trop "cucul la praline", même pour le jeune public.

Bref, ce n'est pas l'histoire qui va passionner les petits lecteurs.



Les graphismes alors ?

Mouiiii... Les illustrations sont jolies c'est vrai, il y a beaucoup de détails dans les tenues et les décors mais peut-être que, pour moi, c'est ici que le bât blesse.

Le manga est en couleurs et avec cette profusion de détails, je me suis sentie noyée, carrément.

Et c'est rose. TREEEEES rose. Beaucoup, beaucoup trop rose !!!

En somme, ça dégouline un poil trop de kawaii au point d'en être un peu écœurant.



Ma 11 ans en grignote quelques chapitres le soir. Elle n'est pas totalement emballée par ce one-shot mais en apprécie certains graphismes.



A réserver aux amateurs de kawaii très rose et très sucré.
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Miriya et Marie, Magiciennes à Paris est un manga Disney qui met en en scène la jeune héroïne féline des Aristochats. Professeur de magie, elle entraîne Miriya avec elle dans le Paris des années 1910 pour faire d’elle une grande magicienne, malgré la rivalité qui va les opposer à Léon et Blacky.



Il y a looooongtemps que je n’avais pas eu autant de peine à finir un manga ! Quelle déception ! En voyant la couverture, je m’attendais à une histoire mignonne, gentillette et un peu kawaii, mais là, c’est clairement dégoulinant, écœurant et excessivement rose à toutes les pages. Quant à l’histoire, on ne peut pas vraiment dire qu’il y en ait une.



Miriya est dans sa chambre, à déprimer sur l’absence de ses parents, quand Marie vient la chercher pour la changer de décor, d’époque et lui enseigner la magie. Depuis quand Marie est professeur de magie ? Eh bien, vous n’aurez pas la réponse à cette question, et si vous lisez ce manga parce que vous êtes fan des Aristochats, vous allez vite déchanter. Ce serait Marie ou le chat errant qui gratte vos poubelles au milieu de la nuit qu’il n’y aurait aucune différence. Quant à Duchesse, qui fait un petit caméo, elle a l’utilité d’une plante verte.



Passée cette introduction qui n’introduit pas grand-chose, hormis les quatre personnages principaux, on assiste juste à une succession de scènes sans réel lien les unes avec les autres, qui servent essentiellement à montrer de jolies robes, de jolies coiffures, de jolies pâtisseries… Et de temps en temps à offrir quelques morales pas subtiles pour un sou.



Les graphiques sont discutables. Certains éléments sont très beaux, quoique détaillés à l’excès au point d’en devenir presque étouffants, mais les humains ne sont pas particulièrement réussis.



Un manga qui plaira peut-être aux (très) jeunes enfants, parce que je ne vois pas pour les autres ce qu’il y a à retirer d’une telle lecture. Sauf si vraiment on aime le rose…
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L’histoire est très simple et est découpée selon plusieurs mini aventures. Un format presque de novellas qui nous a permis de découvrir ce manga petit à petit avec ma fille de presque 7 ans, en lisant une à deux histoires le soir, au moment du coucher.



Autre particularité : ce manga est intégralement colorisé, avec des tons pastels et des illustrations de toute beauté. De quoi permettre aux plus jeunes de s’immerger bien plus facilement dans l’histoire (et aux plus grands aussi, j’ai vite succombé !)



Alors oui, tout se résout très facilement dans ce manga, et Miriya est une vraie prodige sans trop qu’on sache vraiment pourquoi – tout ce qu’elle réalise est tout simplement prodigieux pour les personnes qu’elle a en face d’elle. Mais ça reste parfait pour se détendre, ou bien pour des jeunes lecteurs qui se lancent dans les mangas. Un aspect innocent renforcé par les belles valeurs que l’on retrouve tout au long du manga !



L’univers est, quant à lui, juste ma-gni-fi-que !! Les illustrations kawaii toutes en couleur y sont aussi pour beaucoup, car elles nous plongent parfaitement dans une ambiance merveilleuse, pleine de magie, de paillettes, de couleurs pastels et de sucreries…
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[critique initialement rédigée pour Manga Sanctuary, en version illustrée (voir lien) ]



Comment aborder la critique d'un OLNI (objet littéraire non identifié) tel que Miriya et Marie ?



Premièrement, sachez que vous n'aurez jamais rien vu d'aussi ROSE de toute votre vie. Intégralement en couleurs, l'ouvrage en décline à peu près toutes les teintes imaginables, du pêche au bonbon en passant par le fuchsia. Tout, absolument TOUT, est rose, des cheveux de Miriya en passant par ses tenues ou les décors qui baignent dans un filtre rose permanent.



Et le pire, c'est que ça a méchamment de la tronche.



Clairement, le principal intérêt de Miriya et Marie, c'est la patte graphique de son autrice, car si vous voulez une histoire, passez votre chemin, c'est scénaristiquement aussi creux que les cases sont surchargées. Il n'y a pas la moindre trace de fil rouge, le manga étant composé d'une succession de chapitres pour la plupart de quatre pages où les protagonistes rencontrent un personnage qui a des problèmes, les résolvent en un coup de magie déclenchant généralement une orgie de sucre ou de froufrous avec parfois un peu de morale (ne polluez pas les océans, faites toujours de votre mieux, ne jetez pas les légumes biscornus, être soi-même...), et hop, au suivant ! Du Paris de 1910, vous ne verrez absolument rien passé le chapitre d'introduction, le truc pourrait tout autant se dérouler sur la Lune en 3020 qu'on ne verrait aucune différence. Bon, certes, les thèmes explorés dans les chapitres (les pâtisseries, le parfum, la mode, encore la bouffe, le chocolat – c'est pas pareil –, l'art...) sonnent très « raffinement à la française », mais ça ne va pas plus loin.

Et le côté Disney ? Eh bien, sans le fait que Marie des Aristochats soit professeure de magie sans qu'on ne sache le pourquoi du comment et qu'elle suive Miriya partout, on ne se douterait absolument pas qu'il s'agit là d'un manga Disney.



Donc c'est nul alors ? Eh bien, étonnamment, non. Surtout parce que l'intérêt est ailleurs, à savoir dans le trait de Maya. Comment mentionné plus haut, c'est beau. Mais alors vraiment très très beau. Les personnages changent de tenue à chaque chapitre, Miriya de coiffure, et c'est absolument blindé de détails. Des froufrous, de la dentelle, des perles, des pierres, des drapés, des rubans... Sans parler des décors et de la bouffe. Du sucre, partout, tout le temps, de quoi choper le diabète à toutes les pages ou presque. Du chocolat. De la crème. Des fruits. Des gâteaux. Des biscuits. Une chose est sûre, on ressort de là sacrément affamé.



Le tout baigne donc dans une ambiance étrange, où l'on sauve des bébés dauphins avant de mettre l'odeur du soleil en bouteille, créer des robes en chocolat, se décorer les ongles, redonner sa jeunesse au Père Noël ou aider une baleine en plein déni de grossesse. Bon, d'accord, ce chapitre-là est méga bizarre.



Bref, entre débauche de sucre et défilé de mode, il se dégage une certaine magie de ce petit livre tout rose, pas celle que pratiquent les personnages, mais plutôt une atmosphère, une certaine originalité, qui fait qu'on se laisse embarquer aux côtés des personnages sans trop se poser de questions, pour mieux profiter d'un voyage 0% cérébral et 100% la vie en rose. Rose bonbon, bien sûr !



A côté de ça, quelques mini jeux sont glissés dans la trame même de certains chapitres. Rien de fifou, mais c'est varié : un labyrinthe, des objets cachés, des différences à trouver, des éléments à compter, des points à relier, un coloriage... Le jeune public appréciera sûrement.

Dans le même ordre d'idée, on a droit en fin d'ouvrage à une mini-BD racontant le voyage de l'autrice à Paris ainsi qu'une galerie d'illustrations.



Et l'édition par Nobi-Nobi ? A la hauteur de la débauche visuelle des planches, c'est à dire impeccable !
Lien : https://www.sanctuary.fr/avi..

La jeune Miriya se retrouve toute seule le jour de son anniversaire.

Ses parents l’auraient-ils oubliée?

Par chance, c’est le moment qu’a choisi Mari, un chaton blanc magique, pour apparaître et l’emmener ni une ni deux dans le Paris de 1910 afin de lui apprendre l’art de la magie!

Accompagnées de Léon et Black, les deux petites magiciennes, toujours à la pointe de la mode, vont vivre des aventures fabuleuses au rythme de sortilèges malicieux et de savoureuses pâtisseries!

Afin de devenir une vraie sorcière, elle va devoir passer par plusieurs étapes, dont celles de s’initier aux plats locaux …

Elle va réaliser qu’un coeur rempli de gentillesse sera toujours plus fort que n’importe quelle formule magique.

Parviendra t-elle à recevoir son diplôme de magicienne?

On adore l’humour présent tout au long de ce manga, ainsi que les nombreux jeux auxquels les lecteurs peuvent participer.


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Je remercie les Éditions Nobi nobi pour l’envoi de cette lecture. Aujourd’hui, on se retrouve pour parler une des dernières sorties de chez Nobi nobi, qui est un petit one-shot avec inspiration disney !



Miriya est une jeune fille qui se sent seule. Le jour de son anniversaire, il n’y a personne pour elle. Pourtant, ses parents sont riches et lui font envoyer tout pleins de cadeaux, mais cela ne comble pas le vide dans son cœur ! Elle voudrait que ses parents soient ici, c’est le seul cadeau qu’elle veut !



Quand d’un coup elle reçoit un appel lui disant qu’on l’emmène dans Paris des années 1910. Cette personne, c’est Marie, un chat. Elle va prendre Miriya sous son aile, afin de faire d’elle la meilleure des magiciennes.



J’ai beaucoup aimé l’univers Disney/manga réuni ensemble. En plus, gros point bonus pour moi, c’est que toutes les pages sont en couleur. C’est clairement un manga idéal pour les plus jeunes, avec des petits jeux de temps à autre.



De plus, chaque chapitre contient une petite morale très appréciable, voilà pourquoi, à mes yeux, ce manga est vraiment parfait pour un jeune public !



En bref, c’est un manga vraiment tout mignon et beau que nous retrouvons ici. Par compte, faites attention, on parle pas mal de sucrerie et de pâtisserie, vous ressortirez de ce one-shot avec la faim au ventre !
Lien : https://lapommequirougit.com..

Lecture distrayante, sans être impérissable, ce one-shot pourra plaire aux fillettes auquel il est principalement destiné.
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