MYRTIL
Non, chère Mélicerte, il n’est père ni Dieux
Qui me puissent forcer à quitter vos beaux yeux,
Et toujours de mes vœux reine comme vous êtes…
MÉLICERTE
Ah! Myrtil, prenez garde à ce qu’ici vous faites !
N’allez point présenter un espoir à mon cœur,
Qu’il recevrait peut-être avec trop de douceur,
Et qui, tombant après comme un éclair qui passe,
Me rendrait plus cruel le coup de ma disgrâce.