Je scrutai ses branches parcourues de lianes pendantes, ses petites feuilles abondantes et l’espèce de duvet qu’il semblait secréter par endroits. C’était un baobab. Celui-ci était jeune et beaucoup moins grand, pourtant je sus que c’était le même. C’était le baobab que j’avais vu sur le site du village abandonne, mourant, perdant une à une ses branches dégarnies