AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Citation de Partemps


Ils prirent position là où les juges nommés
avaient tiré au sort et rangé les voitures rivales.
Sonné l'atout d'airain! Au loin, ils bondissent,
Acclament les coursiers brûlants et secouent les rênes relâchées ;
Comme avec un corps, le grand espace est rempli
Du bruit énorme des voitures qui cliquent.
Haut tourbillon au-dessus des nuages ​​de poussière; mélangés ensemble,
chacun appuie sur chacun et les anneaux de cils ; et fort
Reniflent les coursiers sauvages, et de leur souffle de feu, Le
long de leurs crinières et le long des roues qui
tournent, Dispersez l'écume écaillée. Oreste encore-- Oui
, alors qu'il contournait le pilier périlleux
Dernier dans le cours, a roulé dans l'essieu de précipitation;
La rêne gauche freinée, celle de la main dextre
Jeté en vrac.-- Ainsi debout, les chars roulèrent !
Soudain, les coursiers féroces et tête baissée de l'nian se sont cassés du
mors -- et, comme la septième fois maintenant
Le parcours a été encerclé, sur la voiture libyenne a
brisé leurs fronts sauvages : alors l'ordre a changé en ruine : la
voiture s'est écrasée sur la voiture ; la vaste plaine de Crissan
Était comme une mer parsemée d'épaves ; l'Athénien vit,
ralentit sa vitesse, et tourna autour de la marge,
Indemne et habile, au milieu de l'espace, Quittait
le tumulte sauvage de cette tempête agitée.
Derrière, Oreste, jusqu'alors le dernier,
Avait pourtant retenu ses coursiers pour la fin ;
Il ne restait plus qu'un seul rival -- sur, sur il a volé,
Et le son aigu du fléau impérieux
Sonna aux oreilles acérées des coursiers volants.
Il s'approche, il atteint -- ils sont côte à côte --
Maintenant l'un -- l'autre -- d'une longueur le vainqueur.
Les courses sont toutes passées -- les roues dressées --
Tout en sécurité -- quand, tandis que les coursiers pressés contournent
Le pilier fatal s'élança, le misérable garçon
Lâcha la rêne gauche : sur le bord de la colonne
Écrasa le frêle essieu : tête baissée de la voiture
Attrapé et tout enchevêtré dans les rênes, il tomba ;
Et sans maître les coursiers fous faisaient rage !
Fort de cette puissante multitude s'éleva
Un cri -- un cri ! Mais hier de telles actions,
Aujourd'hui un tel malheur ! Maintenant tourbillonnait sur la terre,
Maintenant ses membres s'élançaient dans les airs, ils l'entraînaient -- ces
Chevaux sauvages - jusqu'à ce que tout sanglant des roues
Libéré ; -- et aucun homme, pas ses amis les plus proches,
N'aurait pu dans ce cadavre mutilé avoir retrouvé Oreste.
On déposa le corps sur le bûcher funéraire ;
Et pendant que nous parlons, les étrangers phociens portent,
Dans une petite urne d'airain et de mélancolie,
Cette poignée de cendres froides à laquelle toute
la grandeur du Beau s'est rétrécie.
Commenter  J’apprécie          00









{* *}