Reconversion et transition écologique ne saurait être des alibis de nouvelles restructurations décidées par un patronat toujours seul à décider des conditions de travail des salariés et des meilleures productions lui garantissant le meilleur retour sur investissement. Les nécessaires reconversions sont inséparables des formes d’appropriation collective et de contrôle à inventer, ainsi que des empiétements à opérer sur la propriété du capital