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Citation de Cielvariable


Dylan vient de garer sa voiture. Il en descend pour ouvrir la portière de Charlie. Cette dernière attrape la main qu’il lui tend. Il la saisit doucement et enroule son bras autour du sien. L’air frais du mois de mai fait frissonner la jeune femme. Comme un gentleman, Dylan retire son veston et le dépose sur les épaules dénudées de Charlie. Son cavalier est beau, avenant et galant. Elle devrait ressentir l’envie de l’inviter à monter chez elle, mais ce n’est pas le cas. Elle cherche une raison valable pour ne pas lui proposer un dernier verre, mais rien d’intelligent ne lui vient en tête. Dylan paraît le ressentir, puisqu’il s’arrête devant la porte de son immeuble.
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