Le cadet Széchenyi, fils d'une juive! Lui qui,à l'image de ses compagnons, méprisait les juifs plus que le plus bâtard des chiens de rues, qui les faisait lever, dans les trains, pour lui céder leur place! On le trouva à l'aube d'une nuit qui dût être pleine d'un combat atroce, pendu dans sa chambre.