Dieu serait donc impuissant, incapable de supprimer le mal ? Disons que Dieu n'a rien à voir avec le mal. Il le laisse être, le laisse se déployer -et se dissoudre. Il lui dit à la fois "oui" et "non". De la même manière, je peux me sentir écartelé entre l'acceptation inconditionnelle de ce qui est, et le désir, l'impulsion intérieure de transformer ce qui devrait ne pas être. [p.23]