Nous sommes également redevable aux auteurs qui accompagnent notre réflexion : plus particulièrement D.W. Winnicott (Jeu et réalité) qui le premier a insisté sur le jeu comme fondement d'une bonne santé psychique, M. Berger (Voulons-nous des enfants barbares ?) qui en a pointé l'importance en termes de prévention de la violence, S. Marinopoulos (Dires moi à quoi il joue, je vous dirai comment il va, et Jouer pour grandir) et D. Marcelli dont les travaux ont chatouillé l'âme de ce travail collectif.