Je ne qualifierais pas d’amis ces adeptes dévoués qui me suivent où que j’aille. Je ne tiens à personne. Si les choses se passaient comme je le souhaite, tout le monde me laisserait tranquille, comme je préfère. Mais j’imagine qu’ils sont utiles pour une chose. Un bruit de fond pour contrecarrer la friture permanente de ma vie.