Il se sentit comme un roi, comme un vrai mâle alpha, lorsqu’il la prit dans ses bras pour l’amener jusqu’à la chambre et l’étendre sur son lit, écartant ses jambes. Il ne pouvait plus attendre. Il voulait dévorer cette chatte, mouillée, gonflée, il voulait lécher ses lèvres de haut en bas.
Il se mit à embrasser l’intérieur de ses cuisses légèrement brunies, délicatement embrassées par le soleil : un baiser ici, un autre là. Ses mains pressaient ses fesses fermement, laissaient leurs empreintes sur elles, marquant son territoire. Ses instincts animaux ressurgissaient à nouveau. Il la ferait sienne. Il l’inonderait de la semence primale.