A.D Murphye

Nous longeons le lac Michigan qui est gelé, la ville est recouverte de neige. D'ailleurs, on se caille, au moins 30 degrés d'écart avec l'Égypte. Je gare la voiture et nous prenons l'air en regardant les gens s'amuser sur le lac
gelé. À l'horizon, les nuages s'amoncellent et deviennent sombres. Un bruit
assourdissant retentit. Une pluie de grêle s'abat, broyant la glace du lac,
entraînant des secousses vers le rivage. Les gens arrêtent leurs jeux et se précipitent sur la terre ferme. Une vague se forme au loin et avance rapidement en entraînant la glace avec elle. Nous courons aussi le plus loin possible. La glace s’écrase violemment sur le trottoir, projetant des éclats
de glaçons à grande vitesse. Nous nous protégeons en nous cachant derrière la voiture. Les glaçons s'entrechoquent sur les façades alentour, les vitres des immeubles, des voitures et des magasins se brisent en mille
morceaux. Nous n'avons pas le temps de nous abriter et recevons plein d'éclats, nous coupant sur tout le corps. On entend des sirènes venir dans
notre direction. Je regarde autour de moi, les gens sont en sang, les enfants pleurent et un chien est allongé au sol inconscient. Je me tourne vers Dimitri, du sang coule de sa tête, de sa joue et ses mains sont toutes
égratignées.

Nous longeons le lac Michigan qui est gelé, la ville est
recouverte de neige. D'ailleurs, on se caille, au moins 30
degrés d'écart avec l'Égypte. Je gare la voiture et nous
prenons
l'air en regardant les gens s'amuser sur le lac
gelé. À l'horizon, les nuages s'amoncellent et deviennent
sombres. Un bruit assourdissant retentit. Une pluie de
grêle s'abat, broyant la glace du lac, entraînant des
secousses vers le rivage. Les gens arrêtent leurs jeux
et se précipitent sur la terre ferme. Une vague se forme au loin et avance rapidement en entraînant la
glace avec elle. Nous courons aussi le plus loin possible. La glace s’écrase violemment sur le trottoir, projetant
des éclats de glaçons à grande vitesse. Nous nous protégeons en nous cachant derrière la voiture.
Les glaçons s'entrechoquent sur les façades alentour, les vitres des immeubles, des voitures et des magasins se brisent en mille morceaux. Nous n'avons pas le temps
de nous abriter et recevons plein d'éclats, nous
coupant sur tout le corps. On entend des sirènes venir
dans notre direction. Je regarde autour de moi, les gens
sont en sang, les enfants pleurent et un chien est allongé au sol inconscient. Je me tourne vers Dimitri, du sang coule de sa tête, de sa joue et ses mains sont toutes
égratignées.

Mon Dieu ! Mais c'est vrai l'Atlantide existe !
Je ne le croyais pas. Il aura fallu que je pénètre dans cette
salle et que je lise les inscriptions sur le mur. Je suis étonnée de pouvoir les lire d'ailleurs, elles ne
ressemblent à aucune écriture terrienne et pourtant je peux les lire aussi facilement que du français ou que
les hiéroglyphes.