Sa respiration et son odeur me troublent. J’ai toujours envie de la sauter. Putain d’érection qui ne veut pas partir. Et maintenant, j’ai aussi envie de la foutre à la porte. Je rumine, me souviens que je ne peux vraiment pas la blairer, que c’est bon de la démolir et de la faire chialer. Pourquoi je suis allé à son secours, déjà ? Parce que tu bandes, pauvre imbécile. Mais comme je m’endors, je me rends compte que c’est bien plus grave que ça : je me sens vivant avec elle. Pleinement vivant.