chacun gère sa douleur à sa façon. Certains la noient dans des substances, d’autres l’enfouissent pour ne pas voir la vérité en face. Et les autres restent muets, vivent dans leur tête, se posent des questions, revivent sans cesse ce qu’ils ont manqué et quand ils se sentent prêts à affronter le monde, quand ils ont un peu moins mal, ils sortent de leur coquille.